" Fragments d'un amour suprême est un beau récit intimiste, dicté par une mémoire douloureuse. J'ai particulièrement apprécié la pudeur de vos sentiments, cette manière de ne pas livrer vos blessures à la meute ". Pierre Drachline, directeur éditorial des éditions Le cherche midi.
" Déchiré. Déchirant. Un livre dont on ne sort pas intact (...). Des textes borderline, des pèse-nerfs à la Antonin Artaud, une écriture du corps, écorché et supplicié. Littérature limite (...). Âmes insensibles s'abstenir, vous y perdriez votre sérénité. Un grand livre ". KR'TNT .
" 145 pages où chacune d'elle hurle à la lune, le cri commun de l'amour qui se sait condamner. Jean-François Jacq livre un combat, plus qu'un récit. Une lutte contre la mort, se dit-on. Déjà lu. Une lutte pour retenir un être cher, déjà lu. Mais pas seulement. Car dans l'écriture du Vierzonnais, il y a ce phénomène qui remue les tripes : l'intensité de la douleur se noue à l'intensité de ce qu'il ressent, pas seulement les sentiments amoureux, non, cette angoisse du vide, de l'absence, même pas dramatisé, juste posé là, sur la table, à nu. Peau à peau. Souffle contre souffle. Jusqu'au dernier ". Rémy Beurion (Vierzonnitude).
" Ce livre est une merveille. Apre, dur, mais témoignage bouleversant ". Greg Bod (Le Cabinet des Curiosités, Radio U)
Crédit photo couverture livre @ Kaléidoscope Bleu