Jean-François JACQ Jean-François Jacq

Paroles de lecteur(s)

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L'écriture étant par essence un acte solitaire, vos mots, critiques, ressentis, me sont une véritable source d'encouragement. Merci par avance. 

10 message(s) dans le livre d'or

  • 1 Fred Signac Le 29/10/2023

    "Il fera bon mourir un jour"
    Il est des livres dont la lecture vous marquera, forcément, à vif.Des livres qui vous brûlent entre les mains.Des livres qui vous coupent le souffle.Des livres dont la puissance émotionnelle dépasse vos propres expériences.Des livres qu'il faut relire pour qu'après la première secousse vienne le recul nécessaire à l'appréciation du style.Des livres qui vous attendaient, dont les mots deviennent résonance.
    Dans son nouveau livre,autobiographique,Jean-François Jacq écrit le parcours hors-norme d'une vie, la sienne,de son enfance vécue avec une mère,"elle", atteinte de schizophrénie,d' un père "il", incapable d'amour et d'une adolescence fracassée entre internement,maladie et la rue.Il n'y a pas de "je" dans cet écrit, comme si l'adulte disparaissait pour donner parole à l'enfant.Et page après page, cette première jeunesse, vécue dans le noir, nous happe par un style littéraire unique, puissant, poignant , décrivant sans haine ni amertume,l'histoire d'un enfant qui n'a pas connu l'enfance.Un témoignage rare décrivant ce que grandir dans un milieu schizophrène signifie au quotidien.Jean-François Jacq touche du doigt ici un sujet tabou,la schizophrénie dans un milieu familial,avec une écriture exigeante qui donne une force à ce livre incomparable.

  • 2 James Tanay Le 11/01/2023

    Fragments d'un amour suprême. L’histoire que Jean-François Jacq relate, son histoire, ne se déroule que sur quelques mois. Mais l’intensité qui s’en dégage, très éprouvante n’en est que plus salutaire. Une histoire d’adultes aux cœurs d’enfants blessés. Ils se trouvent, le destin les ayant réunis pour réparer leur lourd passé, ils en sont sûrs… Un passé fait de fantômes familiaux qui les rattrapent, sans jamais réussir à les faire douter de leur amour. Mais le sort s’acharne, implacable, dans une province hostile à la différence… Lu d’une traite, pudique et sans concessions, j’en suis sorti groggy. Ce livre témoignage est précieux comme un diamant à l’état brut.

  • 3 Michel-Olivier Dury Le 15/01/2017

    Fragments d'un amour suprême. Magnifique. Au plan du fond c'est poignant, livré avec réserve et amour. Au plan de la forme: la langue est admirable. Cet ouvrage mérite la reconnaissance du grand public et de la critique.

  • 4 BRIANT MYLENE Le 08/04/2016

    j'ai commencé par "hémorragie a l'errance" qui m'a bouleversée ensuite "FRAGMENTS" que je ne cesse de relire et qui est devenu mon livre de chevet,,,tant de beauté de passion d'injustice et cette écriture crue brute et sublime,,,maintenant je vais lire les premiers livres,,,jean francois Jacq est un immense écrivain un etre rare je le lui ai dit et j'espere qu'il l'a cru et qu'il en est convaincu,,,je vis dans l'espoir de le connaitre un jour et de le prendre dans mes bras tant j'ai déja l'impression de le connaitre un peu et tant je me reconnais dans ses textes et sa facon d'appréhender la vie,,,un etre rare oui un écorché vif que je ne pourrai jamais oublier,,,qu'il en soit remercié,,,Mylene Briant

  • 5 GD Le 06/04/2016

    Nous nous sommes rencontrés sur Bijou et il était inévitable que je lise cette anthologie précieuse et unique du groupe d'une telle passion. Rien ne m'imposait pour autant de poursuivre la lecture par cette Hémorragie à l'Errance qui roule ses r dans la rue... mais je l'ai fait. Que te dire de plus que plus loin encore je vais dans ces Fragments d'un Amour Suprême ? Dans notre coin de Bretagne, nous sommes deux à te lire et à t'adresser ce message que tu sauras décrypter sans l'ombre d'un doute.

  • 6 Jose Le Roy Le 03/04/2016

    "Bijou, vie,mort et resurrection d un groupe" est tout simplement une perle.livre captivant,tres bien écrit,qui retrace la carriere d un des meilleurs groupe francais.Biographie ultime,je crois.Merci,Jean Francois

  • 7 Jean-Philippe Mura-Mujili Le 04/12/2015

    J’ai enfin réussi à lire le livre de Jean-François Jacq "le soleil noir du rock français" Conclusion, cette bio est formidable et je me suis rendu compte que je suis passé à côté de quelque chose de très grand. A la fois instructif et bouleversant, merci Jeff d’avoir fait cette bio d'Olive et Lili Drop.

  • 8 Pablo Carlos Escrobar Le 07/11/2015

    " Hémorragie à l'errance " , une claque dans la gueule !
    Que dire de plus.........

  • 9 Sylvain Daïanu Le 15/05/2015

    " Hémorragie à l'errance ".
    Un auteur se penche (s'épanche) sur son passé et essaye d'en extirper douloureusement la sève, dans la plus grande sincérité. Pour son deuxième roman, Jean-François Jacq ne nous épargne rien, ni son errance peuplée d'anges déchus, de junkies, de rencontres fiévreuses et f(r)acturées- et de sa passion pour les garçons- ni de sa plus grande peine à s'extirper d'une enfance "malade" et sans amour. Tout y passe, du séjour en HP à la Mort imminente qui rôde, de la Faim qui tenaille à la misère sociale et affective, de la disparition d'Amis proches à la difficulté d'écrire (de coucher?) cela sur du papier comme une ultime catharsis salvatrice. Avec,toujours en ligne de mire, la (re)naissance au bout du chemin (de croix). Une œuvre dérangeante, trouble et profondément humaine. D'autant plus dérangeante que le protagoniste n'est autre qu'un ami de longue date qui crache son venin pour mieux faire table rase d'une adolescence perdue. Une leçon de vie. A hauteur d'Homme. Sans aucun compromis.

    Sylvain Daianu

  • 10 Grison Denis Le 12/05/2015

    Félicitation et merci pour votre "Vie mort et résurrection d'un groupe passion". Je me suis régalé à sa lecture et je m'en vais le placer en compagnie de "La story" de Little Bob, ces deux courants du rock français s'étant entrecroisé durant une trop courte période.
    Cette lecture a été une vraie madeleine qui m'a fait revivre cette époque fourmillante de groupes et où tout semblait permis... avant que le soufflet ne finisse par retomber. J'ai ainsi revécu le grand écrémage effectué par Phonogram qui avait fini par virer un peu tout le monde. Je me souviens aussi de cette phrase de Kent dans "Ma vie c'est du cinéma" l'album trop audacieux de Strashooter "Et quand je vois tout ça, les pochettes qui s'usent les disques qui ne partent pas, tous ces musiciens qui y croient et le public qui ne suis pas". La suite des événements ne lui a donné que trop raison.
    Heureusement il nous reste quelque disques a nous mettre entre les oreilles.
    A cette époque il m'arrivait de taper le bœuf - à Dijon - avec les Snipers où sévissait un certain Tatane qui ne s'appelait pas encore Tony Truant. Pour ma part, j'ai quitté la batterie pour le théâtre au court des années 80, mais reste attaché au rock.
    En tout chapeau et salutations

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